Friday, June 26, 2009

http://gallegaynaako.blogspot.com/



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Ceerno Umaar Basum ko aadee cippiroowo e nokkude ganndal e nder zemze koze ngam enen ful6e mbaawen naftoraade, ko zuum wazi kala ko o winndi ko huunde nde nganduza ko ko sigga-siggita, sabu fahmdemo wonde aadee alaa ko anndi so wonaa ko Alla anndinni zum, kadi aadee ko almuudo katdi nguurndam mum, ko noon woni ko Ceerno Umaar ine jokki e kala jangde e kala mbaydi.
Ko ngenndiyanke golloowo e nder ni66ere sabu o heewaani wonde e nder batuuji men, hono no mbazaten ni, sabu omo anndi yoga e batuuji men ko haala 6uri gollal heewde heen, omo renndi e men e kala miijo ngam yooltude gannde koze adda e nder men, sabu ha mbaawen naftoraade.
kala jizzo jokkondirde e makko ko
walla


kuzol almuudo pulaar

Sunday, June 14, 2009

BATU MAKKO CAKKITIIZO FAYDE E RENNDO



Le dernier communiqué politique de Mourtodo Diop ou le chant du cygne
Trois jours avant sa mort, c’est-à-dire le 8 juin dernier, Dr Mamadou Sammba Diop dit Mourtodo, leader du Rassemblement pour le Dialogue des Nationalités Mauritaniennes (DEKAALEM), présidant la réunion du Bureau politique de sa formation a rédigé le communiqué suivant que Ferloo reproduit intégralement pour vous. Il travaillait à faire du président déchu, candidat à la prochaine présidentielle mauritanienne.
"Le Bureau Politique National du Rassemblement pour le Dialogue des Nationalités Mauritaniennes (DEKAALEM), s’est réuni le 8/6/2009 pour examiner la situation politique nationale.
Tour à tour, les responsables ont analysé la conjoncture politique nationale, félicité l’action de DEKAALEM au sein du FNDD et se sont réjouis de la solution de la crise institutionnelle créé par le putsch du 6/8/2008. Ils félicitent les différents protagonistes, le président du Sénégal et la communauté internationale qui ont abouti aux Accords Cadre de DAKAR résultat inespéré qui apaise le climat politique national et demande le renforcement de l’unité des opposants réels à l’autocratie afin de parachever leur ?uvre salvatrice.
Quant aux élections du 18/7/2009, le Bureau Politique de DEKAALEM souhaite d’abord une candidature unique autour du président Sidi qu’il félicite vivement et qui est susceptible de gagner les élections à cause du crédit de confiance qu’il bénéficie à l’échelle nationale et internationale.
Le FNDD doit insister auprès de Sidi afin d’accepter cette candidature ;
sinon, DEKAALEM ne soutiendra sur une base négociée qu’un candidat qui prend en compte l’essentiel de ses préoccupations : la solution impérative de la question nationale, le règlement définitif du passif humanitaire, l’officialisation et l’enseignement de toutes les langues nationales, la répartition équitable du temps d’antenne à la radio et à la télévision, le renforcement et l’application de la loi criminalisant l’esclavage, la suppression de l’ordonnance 83127 sur la réforme foncière, la suppression de la loi amnistiant les criminels, le partage du pouvoir et des richesses nationales entre toutes les ethnies, etc.
Le Bureau Politique National reconnaît que le président Sidi a engagé des réformes déterminantes et que sa réélection permettra de consolider la démocratie et de résoudre progressivement tous les problèmes qui empêchent la Mauritanie d’affirmer son unité par la reconnaissance de ses spécificités, l’abolition de l’esclavage, d’asseoir les vraies bases de son développement.
A défaut de la candidature souhaitée du président Sidi, DEKAALEM qui s’est retonifié prendra une position appropriée le moment venu.
Par ailleurs, le Bureau Politique National demande à DEKAALEM de renforcer sa coopération avec ses partenaires intérieurs et extérieurs et de continuer à défendre fermement son programme par la concertation et le dialogue".
Nouakchott le 8-6-2009
DEKAALEM/RDNM
LE BUREAU POLITIQUE NATIONAL
DOCTEUR MOURTOUDO DIOP
dekaalemrdnm@yahoo.fr

Wednesday, June 10, 2009

6AZEEMO ZOON HADE GOZZO DANYEEDE


Gabon : Rose Rogombé intérimaire de la Présidence de la République
Conformément à la Constitution gabonaise, la présidente du Sénat, Rose Francine Rogombé, va assurer l’intérim de la présidence de la République suite au décès survenu le 8 juin dernier du chef de l’Etat, Omar Bongo Ondimba. Elle sera chargée d’organiser dans les 45 jours l’élection qui permettra de choisir un successeur à « l’ère Bongo Ondimba », mais ne pourra elle-même pas présenter sa candidature.
Suite au décès du président gabonais, Omar Bongo Ondimba, survenu le 8 juin dernier en Espagne, des mesures conservatoires ont été prises à Libreville pour garantir l’ordre et la sécurité, alors que la présidente du Sénat va prendre l’intérim de la présidence de la République le 11 juin prochain.
L’article 13 de la Constitution nationale qui fixe les dispositions relatives à la vacance du pouvoir désigne le président du Sénat pour assurer l’intérim et l’organisation de l’élection de succession.
« En cas de vacance de la présidence de la République pour quelques causes que ce soit, ou d’empêchement définitif de son titulaire constatés par la Cour Constitutionnelle (…), les fonctions du président de la République, à l’exception de celles prévues aux articles 18, 19 et 116, alinéa 1er, sont provisoirement exercées par le président du Sénat ou, en cas d’empêchement de celui-ci dûment constaté par la Cour Constitutionnelle (…), par le premier vice-président du Sénat », stipule la Constitution gabonaise.
Les textes précisent par ailleurs que l’autorité qui assure l’intérim des fonctions présidentielles pendant cette période transitoire ne peut présenter sa candidature à l’élection de succession.
Lorsque l’empêchement est déclaré définitif, le scrutin pour l’élection du nouveau président doit avoir lieu, sauf cas de forces majeur constatée par la Cour Constitutionnelle, entre 30 et 45 jours après l’ouverture de la vacance ou la déclaration du caractère définitif de l’empêchement, stipule les textes constitutionnelles.
Interrogé par Radio France Internationale (RFI) le 8 juin dernier suite à l’annonce du décès du président Bongo Ondimba, le ministre de la Communication, Laure Olga Gondjout, a assuré que « nous allons respecter la Constitution ».
« Laissez-nous d’abord porter notre deuil, nous n’envisageons pas pour le moment de faire quoi que ce soit, nous devons respecter la Constitution », a-t-elle déclaré, ajoutant que « le président était un homme épris de paix. Le Gabon, c’est un État souverain. Nous sommes pour la paix et le respect des institutions pour la cohésion nationale ».
Rose Francine Rogombé avait raflé le 16 février dernier 92% des suffrages de la chambre Haute du Parlement dominée par une écrasante majorité du Parti démocratique gabonais (PDG). Elle succédait ainsi à René Radembino Coniquet, qui assurait l’intérim du mandat de Georges Rawiri, l’ancien président du Sénat décédé en 2006.
Conseiller municipal depuis avril 2008 et sénateur au 1er arrondissement de Lambaréné, chef-lieu du Moyen-Ogooué, depuis le 1er janvier 2009, Rose Francine Rogombé est juriste de formation. Elle a été secrétaire d’Etat à la Promotion de la Femme sous les différents gouvernements de Léon Mébiame.
Depuis 2007, elle est titulaire d’une licence de théologie. Elle est mariée et mère d’une famille nombreuse. En 2006, selon certaines sources, elle avait été pressentie pour assurer l’intérim du mandat de Georges Rawiri, mais elle ne détenait pas à l’époque de mandat de sénateur.
Cette native de la province de Moyen-Ogooué, première femme magistrate du Gabon née en 1942, héritera le 11 juin prochain de la lourde tâche d’assurer l’intérim du fauteuil présidentiel et d’organiser l’élection qui permettre de choisir un successeur à celui qui a gouverné le Gabon pendant 41 ans.
Source : Gaboneco

SEMBENE OUSMANE


Il y a deux ans, disparaissait Sembène
Des activités culturelles sont organisées depuis hier pour rendre hommage à l’écrivain et cinéaste sénégalais Sembène Ousmane décédé le 9 juin 2007 à l’âge de 84 ans. Hier après-midi, un ciné-débat a eu lieu à la Fondation Konrad Adenauer avec la participation de Samba Gadjigo, professeur de littérature aux Etats-Unis, et du professeur Ousmane Sène, directeur du Centre de recherche ouest africain (WARC). Ce mercredi, ce centre commémore le deuxième anniversaire du décès de Sembène avec l’organisation d’un atelier d’animation et d’illustration animé par Edwina White et destiné à des artistes et étudiants. Il y aura aussi une présentation sur l’héritage du cinéaste par le professeur Gadjigo, auteur du livre « Ousmane Sembène : une conscience africaine » (Editions Homnisphères, 2007). Au menu de ces activités, une discussion sur le processus de la réalisation du film de Gadjigo, « The Making of Moolaade », et la projection d’une bande dessinée.
La Maison de la Culture Douta Seck organise ce mercredi à 15h 30 la projection de « Moolaade », dernier long-métrage de Sembène. A Louga, le Centre culturel régional a commencé projette, du 9 au 24 juin, des films du défunt cinéaste. Les séances auront lieu les mardis, mercredis, jeudis et vendredi à 16 heures et 21 heures. Né à Ziguinchor le 1er janvier 1923, celui qu’on appelait le doyen des réalisateurs africains est décédé le 9 juin 2007 à Dakar, à l’âge de 84 ans. Il a mené une belle carrière littéraire et est l’auteur de plusieurs ouvrages parmi lesquels « Le docker noir », « Les bouts de bois de Dieu », « L’harmattan » et « Le mandat ». Il s’est ensuite lancé dans le cinéma après une formation à Moscou. Il a ainsi adapté à l’écran certains de ses livres comme LE MANDAT

Monday, June 8, 2009




El-haji oumar Bongo est mort a barcelone dans une clinic ou il a ete admis pour une maladie de coeur, il faut savoir que oumar bongo a ete president du Gabon pendant 42 ans, il a vecu pendand 73 ans, cela laisse a comprendre que Bongo a vecu au pouvoir des l'age de de 31 ans

Ko aadee mo hono mum heewaani e nder etuude men Afrik, ko kanko wonno mawzo laamme e saha mo o hawri e lajal.

Kadi ko aadee genndiyanke sabu omo ardini leydi makko e yim6e makko e kala saha walla e dente.

Omo wiyatnoo Gabonais ko kanum ardi tawo.

Omo hira e wonde yim6e makko ine kaani ardaade e kala dente Afrik sabu ngalu ma66e.
Sukaa6e makko hono Ali, halima, paskaline, gustave, e woz6e 6e o woppi e aduna, ine nulde duwaaw.

Umaar bongo ko aadee juulzo wonno e nder nguurndam makko.




Oumar Bongo (president du Gabon ) est mort

Décès en Catalogne du président gabonais Omar Bongo
il y a 22 min Marco Trujillo
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Le président gabonais Omar Bongo, 73 ans, est mort lundi à l'hôpital Quiron de Barcelone où il était hospitalisé depuis fin mai, a annoncé son Premier ministre Jean Eyeghe Ndong. Lire la suite l'article
"A 14h30 (12h30 GMT), l'équipe médicale, des responsables et des membres de la famille m'ont informé que Son Excellence le président El Hadj Omar Bongo Ondimba avait rendu l'âme après un arrêt cardiaque", précise un communiqué remis la presse.
Omar Bongo, symbole d'une certaine "Françafrique", dirigeait le Gabon, surnommé "l'émirat du golfe de Guinée" du fait ses richesses pétrolières, depuis plus de 41 ans, ce qui en faisait le doyen des chefs d'Etat africains en exercice.
Aux termes de la Constitution, la présidente du Sénat Rose-Francine Rogombé, membre du Parti démocratique gabonais (PDG) créé par Bongo en 1968, doit assurer l'intérim.
Des élections doivent être organisées dans les 45 jours.
La porte-parole du gouvernement et ministre de la Communication Laure Olga Gondjout a assuré que la Loi fondamentale et les institutions seraient "respectés".
Le chef du gouvernement, qui a annoncé un deuil national de 30 jours au Gabon, a par ailleurs invité ses compatriotes à faire preuve d'union, de solidarité et de dignité dans l'épreuve.
Lundi matin, il avait démenti les rumeurs qui circulaient déjà sur la mort du chef de l'Etat, annoncée dès dimanche soir par le site internet de l'hebdomadaire Le Point (www.lepoint.fr), information qui avait provoqué la colère de Libreville, ancienne colonie française demeurée en liens étroits avec Paris.
Dans la journée, le vice-ministre des Affaires étrangères a remis à l'ambassadeur de France les doléances officielles du gouvernement quant au comportement des médias français.
L'état de santé d'Omar Bongo faisait l'objet de spéculations depuis qu'il avait été hospitalisé à Barcelone pour s'y remettre, selon le gouvernement, du choc provoqué par la mort en mars de son épouse, Edith, fille du président de la République du Congo-Brazzaville, décédée à l'âge de 45 ans.
Mais diverses sources proches de son entourage affirmaient qu'il était grièvement malade, ce qu'a confirmé le Premier ministre dans son communiqué.
A Paris, Nicolas Sarkozy a salué un ami fidèle de la France et une haute figure de l'Afrique. Bongo était un fin connaisseur des arcanes de la politique française.
AMI FIDÈLE DE LA FRANCE
Dans un communiqué, le président français souligne qu'Omar Bongo avait "su gagner l'estime et le respect de l'ensemble de ses pairs, notamment par ses nombreuses initiatives en faveur de la paix sur le continent africain".
"Il tient à les assurer que la France, fidèle à sa longue relation d'amitié, demeure, dans cette épreuve, aux cotés du Gabon, de ses institutions et de son peuple", poursuit le texte.
Bernard Kouchner, chef de la diplomatie française, a déclaré pour sa part: "La France perd aujourd'hui un ami, mais je déplore également une perte pour l'Afrique, continent où M. Bongo, unanimement respecté par ses pairs, avait uvré avec détermination et courage à la paix et la stabilité".
La France dispose d'une importante base à Libreville, qui joue un rôle central dans le dispositif militaire de Paris sur le continent.
La mort de Bongo, qui n'avait jamais suspendu ses activités officielles auparavant depuis son arrivée au pouvoir en novembre 1967, devrait susciter des convoitises, mais les analystes estiment que le PDG au pouvoir est en mesure de gérer la transition dans la stabilité.
Le pays, doté d'importantes ressources pétrolières, est dominé par une petite élite étroitement solidaire et les opposants redoutent que le fils du président, Ali Bongo, actuel ministre de la Défense, ne profite d'un éventuel vide du pouvoir pour en prendre la tête.
Les spécialistes du Gabon le voient eux aussi succéder à son père mais n'excluent pas qu'il puisse s'agir d'un autre membre de la famille.
Bongo Jr pourrait ainsi rencontrer sur sa route son beau-frère, Paul Toungui, actuel ministre des Affaires étrangères et mari de Pascaline Bongo, fille du défunt et influente directrice du cabinet présidentiel.
D'autres noms de possibles prétendants circulent, comme ceux de Jean Ping, ancien chef de la diplomatie gabonaise et actuel président de la Commission de l'Union africaine, et du vice-président Didjob Divungi di Ndinge.
Avec Vanessa Romeo, David Lewis à Dakar et Linel Kwatsi à Libreville, Gérard Bon à Paris, version française Grégory Blachier et Jean-Loup Fiévet
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